La semaine dernière, j’ai accompli un vieux rêve : j’ai nagé avec des dauphins. J’ai toujours adoré ces créatures. Je crois que ça a commencé quand j’ai découvert Flipper à la télé étant enfant (ça ne me rajeunit pas d’y penser, d’ailleurs). Bref, je rêvais depuis longtemps de les rencontrer dans leur milieu naturel. Et l’expérience ne m’a pas déçu, je dois dire : elle était tout simplement extraordinaire. Cependant, elle était tout de même très différente de ce à quoi je m’attendais, et si vous envisagez un jour de rejoindre ces incroyables animaux dans l’eau, ça pourra peut-être vous être utile. La première chose qui m’a frappé en entrant dans l’eau, c’est la taille de ces dauphins. Quand on voit leur tête dépasser de l’eau, on les trouve seulement mignons. Mais lorsqu’on se retrouve dans l’eau avec eux, on se rend compte tout de suite que ce ne sont pas des petits chiens : ils pèsent 400 kilos et ont une force incroyable. Ca fait vraiment un choc de le découvrir : une des participantes est d’ailleurs sortie de l’eau parce qu’elle avait peur d’eux. La seconde surprise, c’est leur texture. Je m’attendais à trouver sous la main une peau parfaitement lisse ; mais elle est plutôt rugueuse, en fait. En effet, les dauphins se battent régulièrement et laissent tout un tas de cicatrices sur leurs corps. De près, ils ont donc plutôt l’allure de vétérans. Autant pour l’image pacifique qui leur est associée. Mais ce à quoi je ne m’attendais vraiment pas, c’est la fatigue extrême que cette activité vous procure. Nager pendant une demi-heure avec les dauphins est tout simplement épuisant. Vous vous accrochez à leurs nageoires, plongez avec eux et les suivez le plus possible… avant de remonter à la surface en ayant l’impression de vous noyer. Il y a des moments où vous avez peur, aussi (lorsque vous lâchez un dauphin pour remonter et vous retrouvez sous un autre…). Vous sentez bien dès les premières minutes que ce n’est pas votre milieu naturel et que les dauphins ne peuvent pas se mettre à votre niveau. S’ils font certains tours à la demande de l’animatrice (applaudir, vous éclabousser, faire un tour sur eux-mêmes, etc.), dès que vous nagez vraiment avec eux, c’est une autre paire de manche. J’ai adoré cette expérience mais je n’aurais pas tenu une minute de plus ! Si vous n’êtes pas un tant soit peu sportif, mieux vaut ne pas vous lancer dans l’aventure. A lire sur le site de ce pour nager avec les dauphins en Méditerranée.
Mois : juillet 2018
Trump attaque l’Europe sur Google
Le leader américain Donald Trump a critiqué mercredi le niveau occidental de la sélection de la concurrence à 5 milliards de yuans mercredi, exprimant que l’UE a expérimenté « une bonne chose sur les Etats-Unis » Il a écrit jeudi sur Youtube: « Je vous ai informé! un bien de 5 milliards de dollars sur l’une de nos merveilleuses entreprises, Google, qui ont vraiment profité des États-Unis, mais pas trop longtemps! Trump semblait utiliser le bien antitrust comme un outil dans le conflit de l’industrie en cours avec le Western Union. Mercredi, il est vulnérable « rétribution incroyable » contre l’UE, sauf quand le bloc croit aux grandes concessions de l’industrie. Il est corrélé avec la détermination du Commissaire à la concurrence de l’Ouest à de grands moteurs de recherche la plus grande sanction antitrust nivelé sur une seule entreprise, plus que son abus de la proéminente plate-forme cellulaire Google android. Margrethe Vestager déclaré moteurs de recherche expérimentés utilisé son logiciel mobile préféré pour sauvegarder sa position de recherche. La recherche a débuté en 2015, avant de faire la cour à la présidence de Trump de plus de 12 mois, et ce n’est pas tout de suite lié à l’achat et à la vente entre les États-Unis et l’Union européenne. Vestager a été interrogé sur Trump mercredi, étant donné le cadre d’anxiété croissante entre votre UE et les États-Unis. Un journaliste a cité Trump, qui a déclaré au président de Western Payment, Jean-Claude Juncker, lors de la réunion du G7 le mois dernier: « Votre femme fiscaliste déteste les Etats-Unis. » Vestager plaisantait à quel point le document était juste à moitié vrai. « Je travaille vraiment ensemble avec l’impôt sur le revenu et je suis une fille dans l’ordre qui est tout à fait approprié », a-t-elle déclaré, mais en plus: « Je ressemble à l’Amérique ». Trump intensifie sa rhétorique contre le syndicat, décrivant l’UE comme un «ennemi» de vos États-Unis. Trump a imposé des tarifs douaniers sur l’acier et l’aluminium importés de votre UE, et envisage également de les étendre pour impliquer les voitures. Le leader est le résultat d’entretiens avec le directeur général de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, avec la Résidence de couleur blanche après ces quelques jours, où il pourrait choisir de parler du bien de Yahoo une fois de plus.
Agriculture francilienne : l’approvisionnement des lycées en produits locaux et biologiques, une priorité
Au-delà des enjeux nutritionnels et environnementaux qu’il porte en soi, l’approvisionnement des lycées en produits locaux et biologiques est un point névralgique de la structuration des filières d’Ile de France et du projet alimentaire régional. Les attentes des parents franciliens sont grandes et les ambitions de la Région en la matière ne le sont pas moins: le Plan Pluriannuel d’investissements (PPI) Lycées voté en mars 2017 a fixé que 100% des cantines des lycées seront approvisionnées en circuits courts, en priorité par des produits locaux, avec un objectif de 50% de produits biologiques, d’ici 2024. Ce seront ainsi 25 millions de repas composés de produits locaux et biologiques qui seront proposés dans les cantines des lycées franciliens. Offrir une alimentation biologique et de qualité locale à tous les franciliens, grands et petits, est une priorité de la mandature, à laquelle les services de la Région, en charge des lycées, de l’agriculture et des territoires travaillent main dans la main. La première étape de ce travail conjoint a été marquée par le lancement d’un groupe de travail avec les services du Conseil Régional, des Conseils Départementaux et de la Chambre d’Agriculture de Région afin de faire se rencontrer les acteurs institutionnels engagés dans les problématiques de l’approvisionnement scolaire en collèges et lycées. L’objectif de ce groupe de travail est de lever les verrous administratifs et organisationnels qui obèrent la rencontre fonctionnelle entre les besoins de la restauration scolaire et les capacités de la ferme francilienne à les satisfaire. A cette fin, les représentants professionnels élaborent une cartographie des différents producteurs à proximité des établissements scolaires et une évaluation des capacités de l’offre francilienne en produits bruts ou de première transformation. Parallèlement, le Pôle lycées recensera auprès des proviseurs les besoins de la restauration des élèves à la fois en volumes et en qualité. Sur la base de ces analyses, les services de la Région engageront une recomposition des mécanismes de marchés aujourd’hui en vigueur pour rationaliser les achats des lycées et y intégrer de façon plus fonctionnelle la fourniture des produits nécessaires par des filières franciliennes structurées et disponibles grâce à un travail de fond avec les interprofessions. L’objectif est qu’à la rentrée 2019, toutes les cantines soient approvisionnées avec du pain francilien. Petit à petit, ce seront des produits laitiers 100% franciliens qui alimenteront la restauration scolaire. Les autres filières (viande, fruits et légumes frais), feront l’objet d’un suivi particulier sur les années suivantes afin d’atteindre l’objectif fixé en 2024. Le service Lycées de son côté mènera un travail de fond sur la formation des agents au travail des produits frais. Le gaspillage alimentaire fera l’objet d’une stratégie votée au cours de l’année 2018 afin de mettre en valeur les dispositifs existants notamment dans les cantines des lycées et étendre les principes de l’économie circulaire. Les agriculteurs individuellement seront aussi impliqués dans la lutte contre le gaspillage alimentaire grâce à un partenariat de la Région Ile-de-France avec SOLAAL qui permet de récolter directement chez l’agriculteur les denrées qui ne seront pas vendues.