Faire un vrai combat dans les airs

Je me sens un peu honteux. Pour l’anniversaire de ma femme, je lui ai offert des vêtements. Pour mon anniversaire, elle m’a offert un combat aérien. A bord d’un authentique avion de chasse…
Je me sens honteux, mais pas au point de ne pas partager ça avec vous. Parce que, croyez-moi, c’est le genre d’expérience qu’il faut faire au moins une fois dans sa vie ! L’aventure a eu lieu à Saint Estèphe (près du Château Lafite Rothschild), sur un petit terrain privé qui servait d’aérodrome. De véritables pilotes de chasse m’ont accueilli, moi et mon adversaire du jour : un homme qui avait déjà l’expérience du vol et qui s’était offert ce vol d’un autre genre. On nous a présenté pendant la matinée comment se dérouleraient les vols (il y en avait deux au programme, chacun d’une heure), ainsi que les techniques du combat aérien. Mon adversaire semblait confiant, étant donné qu’il avait déjà un brevet de pilote. Personnellement, c’était plus mitigé : j’étais partagé entre l’excitation et la peur. On n’était loin d’un laser game, même si le principe restait le même. Ca se passait dans les airs, et j’allais être aux commandes. En réalité, mon appréhension était sans fondement : le pilotage s’est révélé beaucoup plus simple que ce que j’imaginais. Les biplaces étaient d’une simplicité enfantine à piloter. L’après-midi, nous sommes passés au concret. Deux vols d’une heure, où nous avions différentes missions à remplir. Comment expliquer ce qu’on éprouve lorsqu’on se retrouve devant le tableau de bord, seul à l’avant du cockpit ? A part que c’est un pur moment d’excitation ! L’autre appareil a pris son envol, et le mien a suivi peu près. Ca y est, j’étais enfin aux commandes, en plein ciel. Après quelques minutes de manoeuvres de base, j’avais pris le coup de main et pilotais de manière autonome. Honnêtement, je pense m’en être assez bien tiré. Malgré son expérience, mon adversaire a mis du temps pour toucher mon appareil. Et je n’ai pas trop mal manoeuvré pour éviter ses tirs. L’immersion était totale. Lorsque je touchais l’appareil adverse, une traînée de fumigènes se répandait dans son sillage ! Seul problème de cette expérience fabuleuse ? Il va maintenant falloir que je me surpasse pour trouver un cadeau aussi fou à celle qui me l’a offerte ! Je t’aime, femme. Plus d’information sur cette activité de combat aérien en cliquant sur le site internet de l’organisateur.

La VAE

La création de la VAE en 2002 a représenté, pour le monde de l’éducation et de la formation, une véritable révolution : il s’agissait de rendre équivalents en dignité les acquis venant d’une formation initiale, continue ou en alternance, et les acquis de l’expérience. On apprend toujours dans le travail, même dans le travail apparemment le plus simple, que l’on dit parfois non qualifié. On apprend dans toutes sortes d’activités, bénévoles, associatives, syndicales ou d’engagement politique. Et savoir le reconnaître est un geste fort de confiance dans ceux qui travaillent, dans les possibilités de progrès social individuel et collectif, ainsi qu’un facteur de mobilité positive. Plus encore, au pays du culte du diplôme. Saluée par le monde de la formation permanente (les nombreux militants, intervenants et pédagogues de l’éducation des adultes) et par les représentants des salariés comme une forme de reconnaissance de l’importance du travail, la VAE a d’emblée joui d’une belle image. On la doit en grande partie à Vincent Merle qui était alors le directeur de cabinet de la secrétaire d’État à la formation professionnelle. Elle répond à une double exigence. Économique : en reconnaissant les compétences acquises par l’expérience, elle permet des certifications rapides (comparé à des parcours coûteux en temps et en argent de retour en formation longue), adaptées aux besoins des entreprises et aux changements rapides des techniques et des manières de travailler, plus proches en quelque sorte du terrain. Sociale : en donnant de la dignité aux parcours de travail (la dignité du diplôme ou du titre professionnel), elle produit pour les personnes et les collectifs de travail de la reconnaissance et peut être à l’origine de dynamiques de mobilité professionnelle et de progrès social. Elle est une réponse aux changements des modèles d’emploi : aux carrières longues dans une même entreprise avec promotion interne (le passage au statut de « technicien » pour un ouvrier qualifié, le passage à celui de « cadre »…) se substituent peu à peu des parcours plus variés, dans plusieurs entreprises, en changeant parfois de statut (de salarié à indépendant et vice versa), avec des passages par la « case chômage ». Dit autrement, la gestion de l’emploi par les marchés internes a un rôle moindre, et la flexibilité externe s’est développée. La VAE, associée à la formation, est à la fois un outil individuel de développement des compétences et de progrès personnel, un moyen de développement de l’employabilité de chacun et un formidable levier de réalisation (à moindres frais) de la nécessaire montée en compétences générale de la population active française. En ce sens, ce devra être une partie essentielle du « Grand Plan de transformation des compétences » des années à venir. 307 000 personnes ont, en douze ans, fait valider leur expérience : c’est beaucoup et c’est peu pour une population active de 28,6 millions. Un beau succès d’estime en quelque sorte. Quels obstacles faut-il lever pour que la VAE se développe davantage, qu’elle soit plus facile, plus fluide, plus intégrée aux parcours professionnels des salariés, des indépendants, des demandeurs d’emploi et des jeunes ? Que faut-il faire pour que les entreprises s’emparent davantage de la VAE et en fassent un moyen de reconnaissance des salariés et un outil au service de la mobilité interne ou externe ? En effet, on observe un curieux décalage entre les affirmations des chefs d’entreprise, qui considèrent que c’est en situation professionnelle que les personnes apprennent (plus qu’en suivant des stages de formation), d’une part, et le faible développement quantitatif de la VAE, de l’autre.

Dublin et la politique

Il y a peu, j’ai effectué un voyage de groupe à Dublin où j’ai discuté des législatives à venir avec d’autres participants. Nous anticipions tous une bonne part d’absention et un franc succès pour REM. Mais personne, apparemment, n’imaginait à quel point ! L’absention, tout d’abord, a été tout simplement historique. Un électeur sur deux n’est pas allé voter, soit plus de 50% d’abstention selon les estimations des instituts de sondage ! Il y a différentes manières d’interpréter ce désamour. Certains pensaient que les électeurs ont le sentiment que les jeux sont faits après la présidentielle. Mais selon moi, cette abstention est surtout à mettre en rapport avec l’absention du premier tour de la présidentielle, qui avait atteint 22,23%. Macron, même s’il a été largement élu, l’a été grâce au rejet du Front national, mais pas forcément sur un vote d’adhésion. Cela a pu amplifier ce désintérêt. Mais ce qu’il faut vraiment retenir de cette élection, c’est la déculottée historique de tous les anciens partis. Le Parti socialiste, qui contrôlait la moitié de l’Assemblée sortante, s’est littéralement effondré : il obtient encore moins de sièges que les 57 députés socialistes de la débâcle de 1993 ! Côté LR, ce n’est pas non plus la panacée. La droite espérait priver le nouveau président Macron de majorité, mais est loin d’avoir gagné son pari. Surtout qu’une partie des élus LR et UDI devrait soutenir la majorité présidentielle ! En somme, le président dispose là d’un boulevard pour mener à bien ses réformes, sans grand groupe d’opposition face à lui. Cette OPA parlementaire pourrait toutefois se révéler, à terme, à double tranchant. Avec une opposition réduite à peau de chagrin au sein de l’Hémicycle, le couple exécutif pourrait en effet voir se déplacer le mouvement de contestation dans la rue. On en saura plus lorsque Macron tentera de mettre en oeuvre sa loi travail améliorée. Sinon, j’aimerais dire un mot sur ce voyage de groupe: l’organisation y était vraiment extraordinaire et j’ai passé un excellent séjour ! Retrouvez plus de renseignements sur l’organisateur de ce voyage à Dublin.

Le footballer devenu président

Enfant des bidonvilles de Monrovia devenu star planétaire du foot dans les années 1990, George Weah a réalisé le rêve de sa seconde vie en devenant jeudi président du Liberia, pays traumatisé par la guerre civile, qu’il entend réconcilier avec lui-même. A 51 ans, l’ex-attaquant vedette du PSG et du Milan AC a largement remporté le second tour de l’élection présidentielle, avec 61,5% des voix face à son adversaire, le vice-président Joseph Boakai. Seul Africain à avoir remporté le Ballon d’or, en 1995, Weah était largement absent du pays pendant la guerre civile qui a fait quelque 250.000 morts entre 1989 et 2003. Entré en politique à la fin du conflit, il avait été battu au second tour de la présidentielle de 2005 par Ellen Johnson Sirleaf, première femme élue chef d’Etat en Afrique, puis comme candidat à la vice-présidence en 2011. Son parti criera alors en vain à la fraude. Cette fois, alors que son adversaire Joseph Boakai a multiplié les procédures pour dénoncer les « fraudes et irrégularités » ayant selon lui entaché le premier tour, « Mister George » a appelé ses partisans à la patience et au calme. Samedi, il avait effectué une démonstration de force en rassemblant des dizaines de milliers de partisans dans le plus grand stade du pays à Monrovia, affirmant à l’AFP: « Je sais que (Joseph) Boakai ne peut pas me battre. J’ai le peuple avec moi ». Quinze ans après avoir raccroché les crampons, il assure avoir « gagné en expérience » sur le terrain politique et appris de ses échecs. En décembre 2014, il remporte son premier mandat en devenant sénateur, distançant très largement l’un des fils de Mme Sirleaf. « Personne ne devrait avoir peur du changement. Regardez ma vie: je suis passé de footballeur à homme politique », a-t-il lancé pendant la campagne. « Vous pouvez vous aussi être cette personne. Nous sommes pareils », a ajouté l’ex-star du ballon rond, élevé par sa grand-mère à Gibraltar, un bidonville de Monrovia. A ses critiques qui jugent son programme trop vague et pointent son absentéisme au Sénat, il rétorque par son bilan en matière de santé et d’éducation, la proximité qu’il cultive avec la population et des promesses. « Je vais m’assurer que nos hôpitaux soient équipés, que nos médecins et nos infirmières soient formés et qu’ils soient encouragés à travailler ». Weah a choisi comme colistière Jewel Howard-Taylor, l’ex-épouse de l’ancien chef de guerre et président Charles Taylor (1997-2003), une sénatrice respectée. Mais George Weah, tout en affirmant que « tout le monde était l’ami de Charles Taylor », le répète: il n’entretient « pas de contact » avec l’ancien président, condamné en 2012 par la justice internationale à 50 ans de prison pour crimes contre l’humanité et crimes de guerre en Sierra Leone voisine. Pendant la guerre civile, Weah avait plaidé pour la paix au Liberia, appelant l’ONU à sauver son pays. En rétorsion, des rebelles avaient brûlé sa maison de Monrovia et pris en otage deux de ses cousins.

Quel baptême… en avion

Dernièrement, j’ai fait un stage de pilotage d’avion à Narbonne. Je n’avais encore jamais essayé, et je comprends mieux pourquoi tant de gens dépensent des fortunes là-dedans : les sensations qu’on a à bord d’un avion sont vraiment géniales. On est si accoutumés aux avions de ligne qu’on ne sait plus vraiment, de nos jours. Mais dans un petit appareil, on retrouve enfin les sensations de vol ! Et je crois que cette différence de sensations peut parfaitement s’appliquer au macrocosme de l’entreprise. Quand on travaille au sein d’une grosse société, on a tendance à perdre de vue l’essentiel. Et ça peut provoquer des dégâts. Prenez l’exemple d’Altice qui n’arrive plus à sortir du marasme dans lequel elle s’est enfoncée. Plus d’un million d’abonnés ont quitté SFR depuis 2014, et ce n’est probablement pas fini. Son patron a beau s’agiter autant qu’il veut pour sauver les meubles, la dette du groupe Altice ne va pas aller en s’arrangeant. SFR a tout simplement trop agacé ses clients en décidant d’élévations de tarif sans même les prévenir, et ceux d’entre eux qui ne sont pas encore partis doivent être en train d’étudier les offres des autres opérateurs… En essayant de colmater la brèche, Drahi a dit une chose très intéressante : qu’ils devaient se recentrer sur « les petits détails ». Cette simple constatation confirme que les grandes entreprises oublient le principal, en l’occurrence ces fameux « petits détails opérationnels ». Par exemple, les mecs qui se sont dits que ce serait une bonne idée d’imposer de force une option payante à leurs clients vivent complètement déconnectés du réel. C’est la même chose pour les banques qui vous imposent de prendre des options payantes pour obtenir le moindre truc, et qui déplorent ensuite que les clients fuient progressivement vers les banques en ligne. Ces grandes entreprises, en devenant aveugles aux évidences, se pourrissent elles-mêmes. Et c’est bien dommage, car ce sont les mêmes qui, à la base, étaient bien parties pour durer ! Quoi qu’il en soit, si vous aimez les expériences originales, je vous invite vraiment à essayer le pilotage d’avion. Voici le site auquel j’ai fait appel pour mon vol. Davantage d’information est disponible sur le site de l’agence de voyage de ce pilotage en avion à Narbonne. Cliquez sur le lien.

Rêve en cuisine

Si vous vous demandez si la téléréalité influence les comportements, je peux vous donner une réponse claire et simple : oui. J’en suis la preuve vivante. Je le sais car Cauchemar en cuisine a eu une très mauvaise influence sur moi. Alors que je me contentais jusqu’à une période récente de plats surgelés, voilà que je me suis mis à cuisiner. Pire : j’ai participé cette semaine à mon premier cours de cuisine à Lille, et je dois dire que je n’ai pas été déçu par l’expérience. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre, mais je m’attendais tout de même à quelque chose d’assez guindé. Mais au contraire, l’ambiance s’est avérée être très conviviale. Il faut dire que nous étions en petit comité : nous étions 4 à participer. Le chef était donc disponible pour chacun de nous et nous expliquait les choses très simplement, de sorte que je n’ai pas été perdu un instant. Je craignais surtout de me retrouver entouré par des experts qui sauraient tout faire mieux que moi. Mais à part une personne qui avait l’habitude de cuisiner, les autres participants étaient plutôt comme moi, et certains même moins doués que moi. Et tout ça n’avait finalement pas d’importance. Parce que pendant l’atelier, personne ne jugeait le travail des autres. Au contraire même, nous nous entraidions de temps à autre pour préparer une sauce ou aider à la cuisson. Le chef suivait notre travail attentivement, mais pas comme un examinateur. Il nous donnait plutôt de petits conseils pour nous faciliter la vie en cuisine. Nous étions tellement pris par notre travail qu’aucun de nous n’a vu le temps passer. Une excellente expérience, au final ! Je dois dire que cuisiner dans ces conditions, c’est un pur régal : les cuisines étaient spacieuses, nous avions à disposition d’excellents produits et tous les outils imaginables. A tel point que j’ai un peu déprimé en retrouvant ma minuscule cuisine ! J’ai ainsi pu confectionner un carpaccio de coquilles Saint-Jacques qui aurait été bien au-delà de mes compétences avant ce cours. Si vous êtes un cuisinier médiocre comme moi, je vous recommande de tenter l’aventure. Ce cours de cuisine m’a fait passer à un tout autre niveau en quelques heures. Je pense même que je vais en refaire un autre dès que possible, histoire d’entretenir la flamme. Je vous laisse le lien vers le site spécialiste de cette expérience de cours de cuisine gastronomique à Lille.

Nouvelles substances psychoactives: consommation problématique dans les populations marginalisées

En 2016, l’EMCDDA a étudié la consommation des nouvelles substances psychoactives chez les usagers problématiques. Il a ainsi été constaté que, si les niveaux de consommation étaient généralement faibles en Europe, les habitudes de consommation étaient associées à de nombreux problèmes. Une majorité de pays européens (22) a signalé la consommation de nouvelles substances psychoactives au sein de groupes d’usagers problématiques, bien qu’un usage plus intensif parmi les consommateurs d’opiacés et de stimulants par voie intraveineuse se soit limité à la Hongrie et à certaines régions du Royaume-Uni. Des cas d’injection de cathinones de synthèse ont été signalés dans la moitié (15) des pays, la substance consommée variant souvent d’un pays à l’autre: méphédrone au Royaume-Uni, alpha-PVP en Finlande, pentédrone en Hongrie et 3-MMC en Slovénie, par exemple. La consommation de cannabinoïdes de synthèse par voie fumée dans les populations marginalisées, y compris chez les sans-abri et les détenus, est un problème émergent qui a été observé dans deux tiers environ des pays européens. En Europe, rares sont les patients qui entament actuellement un traitement pour des problèmes liés à la consommation de nouvelles substances psychoactives, mais une sous-déclaration dans ce domaine est probable. En 2015, quelque 3 200 patients, soit moins de 1 % des personnes ayant entamé un traitement spécialisé pour consommation de drogues en Europe, ont déclaré que ces substances leur posaient des problèmes. Au Royaume-Uni, environ 1 500 patients ayant entamé un traitement (soit environ 1 % de tous les patients admis pour un traitement lié à la consommation de drogues) ont indiqué que les cathinones de synthèse étaient les substances qui leur posaient le plus de problèmes. La Hongrie et la Roumanie signalent également un nombre relativement élevé de consommateurs de nouvelles substances psychoactives ayant entamé un traitement pour usage de drogues.

Alcoolique ?

Comme toute maladie, il y a des signes ou des symptômes d’alcoolisme. Certains d’entre eux sont très faciles à reconnaître alors que d’autres sont moins évidents. La plupart d’entre nous peuvent sortir peut-être une fois par semaine ou juste à des occasions spéciales et prendre quelques verres et ce n’est pas grave. Toute personne peut être alcoolique, y compris les adolescents. L’alcoolisme touche plus de 17 millions d’Américains tous les jours. Il y a une différence entre boire ou abuser de l’alcool et de l’alcoolisme. Ce n’est pas combien une personne boit mais comment elle laisse tomber la boisson et contrôle sa vie. L’alcoolisme est une maladie grave et si elle n’est pas traitée, elle peut être fatale. Cette maladie ne peut être guérie, mais elle peut être contrôlée. Des études ont montré que les troubles mentaux, sociaux et génétiques peuvent influencer la progression de cette maladie. Voici cinq signes à rechercher si vous ou un être cher peut être alcoolique. Tout d’abord, la personne peut être en déni d’avoir un problème en premier lieu. Ils peuvent même croire qu’ils maîtrisent leur consommation d’alcool. En reconnaissant qu’ils ont le problème est la première étape de la récupération. Deuxièmement, la personne souffrant d’alcoolisme peut souvent avoir envie d’une boisson alcoolisée. Ils peuvent faire tout leur possible pour obtenir la solution d’alcool qu’ils veulent si mal. Cela peut affecter leur vie personnelle ou même professionnelle. Troisièmement, les alcooliques ont généralement une forte tolérance pour les boissons alcoolisées. La tolérance serait supérieure à la tolérance d’une personne normale pour l’alcool. Cela peut mettre la personne à un grand risque pour les problèmes de santé, car ils devront boire de plus en plus d’alcool pour obtenir le meilleur dont ils ont besoin. Quatrièmement, la personne peut ne pas pouvoir contrôler la quantité d’alcool consommée. La plupart d’entre nous qui ne boivent que de temps en temps savent généralement quand nous en avons assez. Quand une personne a de l’alcoolisme, elle perd généralement la capacité de savoir quand il est temps de s’arrêter. Ceci, comme l’envie constante, peut causer des problèmes de santé sérieux car la personne boit jusqu’à ce qu’elles soient malades ou qu’elles se passent. Cinquièmement, la personne peut non seulement désirer l’alcool, mais elle peut commencer à fonctionner normalement. Sans l’alcool, la personne subira un retrait, elle peut avoir des symptômes semblables à d’autres utilisateurs de drogue qui font l’objet de retraits. Ils peuvent ressentir de la nausée et être en sueur et tremblants. Si vous ou quelqu’un que vous connaissez connaît ces symptômes ou que vous êtes alcoolique, je vous encourage à demander de l’aide immédiate. Il existe de nombreux traitements pour l’alcoolisme aujourd’hui. Demander de l’aide peut-être difficile à quelqu’un qui vient d’admettre ou de se rendre compte qu’ils ont la maladie. Ils devraient avoir beaucoup de soutien derrière eux lors de la recherche d’aide, sinon ils pourraient recourir à la rechute. Il est très important non seulement de voir la réadaptation, mais également de chercher de l’aide mentale, surtout lorsque l’alcoolisme a affecté une relation ou un emploi. Si vous connaissez des gens comme des parents ou des amis que vous soupçonnez avoir des problèmes d’alcool, appliquez les connaissances que vous avez acquises dans cet article pour confirmer si les symptômes de l’alcoolisme sont ou non réels. A lire sur le site de ce de cours d’œnologie.

L’absence de politique volontariste de mixité sociale

La réforme de 2007 d’assouplissement de la carte scolaire avait pour but de favoriser les dérogations, notamment pour les élèves socialement défavorisés, afin de favoriser la mixité sociale. Au niveau national, Thaurel-Richard et Murat (2013) ainsi que Fack et Grenet (2013) trouvent un faible effet sur les effectifs d’élèves et sur le profil social des collèges. Cela s’explique par le fait que les capacités d’accueil des établissements sont limitées, que le taux d’acceptation des demandes de dérogation reste modéré et a tendance à diminuer au fil du temps, et que les institutions comme les familles (notamment dans les milieux populaires) restent ancrées dans une logique géographique (Oberti et Préceteille, 2013). À un niveau plus précis, Thaurel-Richard et Murat (2013) observent une baisse des effectifs en sixième dans les collèges d’éducation prioritaire entre 2006 et 2009, que Fack et Grenet (2013) évaluent à 5 % pour les réseau de réussite scolaire et à 9 % pour les collèges « ambition réussite ». Près de 30 % des collèges RAR ont subi une perte de plus de 18 % de leurs effectifs durant ces trois années, et 30 % à 40 % de cette baisse peuvent être imputés à l’assouplissement de la carte scolaire. Pour autant, il n’y a pas de conclusion significative quant à un changement dans le profil social des élèves, mais les auteurs constatent que les élèves non-boursiers ont plus bénéficié de dérogations que les élèves boursiers : les élèves boursiers demandent moins de dérogations (en proportions), même si elles sont plus souvent acceptées. Quelques académies, comme Paris, ont vu les taux de boursiers progresser dans leurs lycées les plus élitistes, mais les procédures Affelnet, orientées sur l’objectif trop rustique de progression des boursiers dans les lycées favorisés, n’ont pas permis de diversifier socialement la composition des lycées. Les analyses n’ont de plus pas été assez poussées pour analyser les carrières de ces boursiers dans des établissements peu adaptés à leur accueil faute de développer les conditions pédagogiques favorables à leur intégration sociale et scolaire. Du côté des resectorisations, les politiques volontaristes en termes de mixités sociales des conseils généraux (partageant la compétence de la carte scolaire et des dérogations avec l’inspection académique) sont souvent interrompues pour des raisons politiques.

Un parfum pas comme les autres

Récemment, j’ai suivi un stage de création de parfum à Paris, et je dois dire que cette expérience a été une véritable épiphanie olfactive : j’ai tout simplement adoré. De la partie théorique (où l’on apprend qu’un parfum se décomposer en trois notes : note de fond, note de coeur et note de tête, chacune avec une durée et une intensité différente) à la partie pratique, je me suis senti tout du long comme un gosse au pied du sapin de Noël. Cependant, j’ai noté que certains participants étaient quelque peu déçus par l’expérience. Apparemment, ils s’attendaient à composer une fragrance de rêve au cours de l’atelier. Et là, clairement, ils rêvaient complètement. Parce que la conception d’un parfum demande une sacrée méthode. Et même lorqu’on jouit d’un bon odorat (comme c’est mon cas), on est vite paumé devant l’orgue à parfum et ses quelques 128 fioles ! En plus, marier toutes les senteurs que vous estimez le plus donne rarement un résultat satisfaisant : il faut savoir y ajouter d’autres que vous n’appréciez pas, mais qui donnent de la profondeur à votre fragrance. Et puis, même si vous imaginez la note de fond de vos rêves, cela ne veut pas dire que vous ne bousillerez pas l’ensemble avec la note de coeur une heure plus tard ! En bref, autant vous dire que ce serait un véritable exploit que de fabriquer le parfum ultime en si peu de temps. Pour ma part, la fragrance que j’ai élaborée me fait penser à ces cravates en soie qu’ont peintes à la main mes enfants pour la fête des pères : j’apprécie le geste, mais je ne les mets jamais pour le travail. Allez savoir pourquoi… Cela dit, l’expérience est tellement passionnante à vivre que même sans avoir obtenu le parfum de mes rêves, j’ai passé un excellent moment. Il est même possible que je m’y remette, plus tard dans l’année. Si vous voulez plus de détails, voici le site où j’ai déniché ce stage de création de parfum. Je l’ai effectué à Paris, mais l’on peut en faire un peu partout. Suivez le lien pour en savoir plus.